Si la volonté populaire est de transformer ce pays en un 4e Reich, nationaliste et ouvertement raciste, qui est-il pour s’y opposer ? La démocratie c’est ça, justement.

Mais une chose est sûr, si la majorité veut se couper du monde dans un hexagone bleu-blanc-rouge, ça n’est pas mon affaire. Je ne serais plus en France quand Le Pen sera présidente, je ne me fais pas de soucis pour ça.

Mais j’espère que les Français, ceux qui votent, seront un peu plus intelligents que les électeurs américains en ce moment : l’autre Trump là, ça commence à m’inquiéter…
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