Le monde serait coincée dans une forme de situation du genre « allez, y ! – non, je vous en prie ! – je n’en ferais rien ! … », mais à grande échelle ?

Ça donne à réfléchir.

Quant à penser à son propre bonheur avant de penser aux autres, je pense qu’on peut naturellement réconcilier les autres.

Je loupe sûrement un truc mais 1) je ne vois pas comment on peut être heureux en étant constamment un connard et en faisant du mal aux gens gratuitement (je pense que ce n’est pas dans l’être humain que d’être asocial sans raisons) et 2) si on est heureux dans sa vie, ça se voit forcément dans sa relation avec la société : quelqu’un d’heureux au fond de lui sera plus souriant, plus ouvert, moins un con que les gens malheureux, qui se voient obligés de rendre au monde ce qu’ils pensent que le monde leur donne qui les rend si frustré de la vie.

On peut pas être heureux quand on se gare comme une merde, qu’on bouscule les gens sans s’excuser, qu’on double les gens à la caisse, qu’on casse quelque chose sans le signaler et le laisser au prochain qui passe (ouais, j’adore faire les courses au supermarché, ça se voit tant que ça ? :D).
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