Un logiciel que seul l’État pourrait contrôler, voire altérer, pour surveiller les fraudeurs, donc.

Imaginez un méchant opposant politique un peu trop démocratique, mais qui n’a rien à se reprocher sur le plan légal : ça serait très fâcheux si le fisc "trouvait" une malencontreuse erreur dans la comptabilité, non ?

Bien-sûr, les politiciens ne feraient jamais ça. Ils ne sont pas comme ça : ces gens montrent l’exemple en payant des impôts honnêtement et en déclarant tout ce qu’ils ont.

C’est vrai que, pour ne prendre que son exemple très connu, Assange est un dangereux violeur qui est protégé par l’Équateur uniquement pour ça et que les USA et la Suède veulent uniquement le juger pour le soit disant viol qui aurait eu lieu.


Évidemment. Je dois voir le mal partout, hein ^^.

Bande de pourris.
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