Notez que le bâtiment/bunker de l’image 2 existe bel et bien sur le campus de Saint-Martin d’Hères (je vous laisse en chercher le nom).
source: Le Geektionnerd
Après presque 1 an d’absence (le tome 4 a débuté en juillet 2012), GKND revient pour son ultime épisode. Hé oui, ce sera le dernier ! Non, non, ne pleurez pas, toutes les bonnes choses ont une fin…
Maiheu, pourquoiiiii ?
Il faut être honnête, j’ai mis beaucoup plus de temps à écrire ce scénario que les 4 autres, et sans avoir d’idée pour la suite (d’habitude, je connais toujours au moins le synopsis du tome i+1 quand j’écris le tome i). J’ai vaguement eu une idée pour le tome 6, mais c’était plus un concept qu’autre chose, et je ne pense pas en tirer grand chose. Je pense avoir fait le tour de ce que je pouvais raconter sous cette forme, et je préfère arrêter sur un bon épisode que de me forcer à tirer sur la corde par principe. J’aime l’idée d’avoir une histoire avec un début et une fin, et si possible de terminer en beauté !
J’ai ce synopsis en tête depuis un bon moment (de mémoire, c’est aux RMLL 2011 que j’ai eu l’idée de la couverture, du titre et de la trame générale). J’avais prévu de faire une suite, mais plus je l’écrivais, plus je trouvais que ce tome conclurait bien l’histoire des 3 personnages, et qu’il paraissait difficile de faire une suite qui ait de l’intérêt après cela. L’histoire du tome 4 (qui implique que les personnages connaissent leur avenir) a rendu cette conclusion encore plus évidente.
Cinq, comme les 5 doigts de la main, pile à mi-chemin entre les nombres clefs 3 (comme le Seigneur des Anneaux) et 7 (comme Harry Potter). Un début, un développement, une intrigue, un élément de résolution et une fin. La boucle est bouclée. Et en plus, je commence à avoir fait le tour des couleurs possibles pour les couvertures (haaaan l’excuse de m*rde :p)
Je me suis lancé dans GKND sans trop savoir où cela allait me mener (relisez mon texte d’intro sur le tome 1 pour vous en convaincre). Je n’ai notamment pas beaucoup réfléchi la forme (3 dessins avec beaucoup de texte, pas de prénoms, etc.) qui n’est pas toujours simple à tenir. La fin de GKND, c’est surtout la fin de ce format. Il est tout à fait possible que je revienne sur l’histoire de ces 3 personnages à l’avenir, sous une forme différente (qui ne s’appellerait donc plus GKND mais en serait une sorte de suite). Aucun projet pour le moment, mais on verra
Hé oui, les situations changent, la mienne aussi. L’écriture du tome 1 remonte à août 2009 (même si la publication a débuté à l’été 2010). Aujourd’hui, je me sens bien moins lié à cette histoire, l’école d’ingénieur s’éloigne petit à petit et mes préoccupations ne sont plus les mêmes. J’avais précisé en lançant Superflu que cela n’influerait pas sur mes autres projets, mais il faut admettre que c’est faux : aujourd’hui, je suis bien plus enthousiasmé par ce dernier, et c’est surtout là que j’ai envie de passer mon temps libre (qui se réduit de jour en jour, vie professionnelle oblige), d’autant plus que je suis assez frustré de ne pas pouvoir les sortir plus vite… Il y a aussi des histoires longues uniques (hors-série donc) que j’aimerais raconter. Le Geektionnerd continuera, c’est définitivement mon moteur et mon projet phare. Mais j’ai encore d’autres choses dans les cartons et sur lesquelles il faudra bien que je passe du temps pour en faire quelque chose !
Si sur un coup de tête, je me dis dans quelques mois « ouah, ça serait un super scénario pour GKND6 ! », on sera peut-être repartis pour un tour. Je ne m’interdis rien, mais ce n’est pas à l’ordre du jour.
Voilà ! J’espère que ce dernier tome vous plaira. À l’heure où je publie cet article, je n’ai pas encore terminé l’écriture du scénario (mais il est bien avancé). Pas encore certain de savoir comment cela va se terminer du coup, mais j’ai déjà ma petite idée
Article pour le Framablog.
Pas de source, tout le monde en parle, suffit de chercher… Ce qui me frappe le plus dans ce rapport, c’est que les petits acteurs (public, gens indiviuellement) sont promis aux amendes, lois pourris, etc., alors que question éthique, on va juste demander aux industriel de signer quelques chartes à la con qui ne les engageront jamais à rien. Belle vision des choses.