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Petit Pouyo : Donner une seconde vie à un netbook de 2010

jeudi 29 décembre 2016 à 08:54

J’ai récupérer il y a quelques jours un Toshiba NB250-101, un netbook sorti en 2010 équipé de Windows 7. Autant vous dire que cette petite bécane ramait à mort et rendait son utilisation quasiment impossible, il a donc fallu trouver un moyen de lui redonner un peu de pep’s.

Petit tour de la bêbête

Le Toshiba NB250-101 est un netbook c’est à dire un ordinateur de très petite taille, aux performances plus faibles qu’un ultraportable classique (cf. Wikipedia), doté d’un écran de 10.1 pouces ce miniportable contient un disque dur de 160Go et d’une mémoire vive d’1 Go, pas féroce n’est ce pas ? 😉 À l’origine il est vendu avec Windows 7 Starter Edition… Pour pousser le tout il est équipé d’un processeur Intel Atom Pineview N455 qui supporte la DDR3, ah j’oubliais, c’est un 32bits.

Bref rien de bien transcendant (cc Córdula), je pense qu’à sa sortie c’était une belle acquisition qui devait faire ce qu’on lui demande sans trop de chichi pour 280€ neuf en tout cas bien mieux que dans l’état dans lequel je l’ai récupérer. Laisser pour mort au fin fond d’un tiroir du grenier chez mes parents car devenu trop inutilisable pour ma petite maman qui à préféré s’acheter un iPad Air à la place.

En effet au démarrage du netbook tout se lance en un clin d’œil mais ça c’est avant l’ouverture de la session Windows, s’en suit alors une réaction en chaîne de programme qui se lancent dès l’ouverture qui alourdit considérablement la bécane, sans compter Skype qui se fige en plein milieu de l’écran, eBay qui fait chier aussi, Windows Live Essentials (c’est pas une blague)… et pour couronner le tout McAfee qui s’affole car ça fait 3 ans que le bitoniau était éteint donc pas du tout à jour enfin bref une calamité cosmique !

À L’AIDEEEEEEEEEE

Personnellement on me prend pas la pine longtemps j’ai donc tout couper de force et suis parti à la quête d’une distribution Linux légère pour donner une seconde vie à ce netbook qui me servira peut-être d’ordi de secours dans le futur. Mon réflexe à été d’essayer Xubuntu mais c’est trop puissant et impossible à lancer dessus, après avoir parcouru la toile et sauter de forum en forum j’ai tester Lubuntu qui démarre sans aucuns pépins dessus mais à la longue est aussi trop puissant pour le Toshiba qui fini par se figer quelques fois comme à l’ouverture de Firefox par exemple.

Il existe pleins de distributions Linux plus ou moins légères mais les supports techniques en français se font rares et pour certains distro les supports anglais ne sont plus à jours depuis plusieurs années donc pas enfin de me prendre la tête à jouer l’Indiana Jones du cambouis tu vois alors après avoir lu les 3 articles de Frédéric Béziès qui a tenté il y a un an de jouer au docteur Frankenstein avec son Asus eeePC 1005 j’ai opté pour Debian.

Dé dé dé Débiannnnnnnnnnn
(titre à lire avec l’air de la symphonie n°5 de Beethoven)

En effet Debian est réputé pour pouvoir tourner sur de vieilles bécane, couplé avec XFCE un environnement rapide et léger. Je ne me suis jamais aventurer chez Debian, ayant toujours utiliser Ubuntu comme OS chez Linux j’avais un peu peur de sauter le pas mais le mode de fonctionnement reste quasiment identique (mise à part l’histoire des PPA et des DEB).

Comme je n’ai pas vraiment envie de me prendre la tête surtout pour un ordinateur que j’utiliserais occasionnellement je suis tomber sur DFLinux qui basé sur Debian avec XFCE et quelques outils additionnels pour les débutants sur Debian de ce fait que l’OS est utilisable aussi bien par un môme de 6 ans que par un senior. L’avantage outre le fait de la simplicité d’utilisation c’est l’existence d’une communauté française très active Debian-Facile.

Fin de l’histoire et coup de pouce

J’ai galérer à virer Windows du netbook, en effet il était impossible de supprimer la partition où il était installer. Bien évidemment on peu pas virer Windows en passant par Windows (lol) d’ailleurs c’était mission impossible pour moi vu l’état de l’engin à l’ouverture de la session, ensuite j’ai balancer un live avec Lubuntu pour destroy la partition avec Gparted mais la aussi impossible de démonter la partition pour y faire quoi que ce soit….

Au final j’ai carrément télécharger l’ISO de Gparted pour le lancer en live sur le netbook, tonnerre de Brest ! Via cette solution la partition parasite à été éliminée avec succès. À partir de la on peu installer n’importe quel système d’exploitation sans aucuns soucis 🙂

 

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