Cette histoire est l'une de mes préférées. Et je n'ai aucun souvenir de ce qui l'a inspirée. Je suis particulièrement amusé par le fait que le titre choque. Cela convient tellement bien à l'histoire.
Quand à Miczak, il est directement inspiré d'un ami. J'ai poussé le vice de la ressemblance jusqu'à affubler mon personnage d'un prénom à consonnance balkanique. L'ami s'est reconnu tout de suite, cela m'a fait bien rire. S'il recommence à s'occuper activement de son blog, je vous le présenterai.
En y repensant, ce texte illustre parfaitement la contradiciton entre ma rébellion contre le mercantilisme outrancier et la part de rêve que je refuse d'abandonner. Noël est l'archétype de ce paradoxe. Sont-ce les rêves qui font vivre les marchands ? Ou les marchands qui nourrissent les rêves ? Est-ce un plaisir de se plier aux obligations sociétales et familiales ?
Je vous laisse seuls juges…