Choix d'imprimante compatible avec mes besoins et GNU/Linux

Comme je le signalais dans mon billet de rentrée, mon imprimante empêchait ma migration de Jessie à Stretch sur mon desktop.

En m’acharnant un peu, j’ai finalement réussi à faire fonctionner à peu près ma Lexmark S505 mais comme diraient nos cousins québécois, elle marche comme un mal de ventre depuis un bon bout de temps : parfois elle n’arrive pas à prendre les feuilles en disant qu’il n’y a plus de papier mais surtout lorsqu’il y a plusieurs pages à imprimer, il arrive qu’elle s’arrête brusquement au milieu de la dernière et ne bouge plus. Il faut alors annuler le job sur l’imprimante et dans la file d’attente, la débrancher ou la redémarrer pour que les impressions soient à nouveau lancées. Enfin, les quelques essais pour configurer le wi-fi n’ont pas été concluants. Bref, il était temps de songer à changer même si elle n’est pas en panne et que le problème vient probablement du driver fournit par le constructeur (et pas mis à jour depuis 5 ans).

J’avais pour intention de me tourner vers HP dont les imprimantes sont généralement très bien gérées par hplip, encore faut-il que le modèle soit pris en charge, ce qui n’est pas le cas pour les plus récents. Cela m’a fait plusieurs fois hésiter sur la finalisation de l’achat. Et puis, je me suis rendu compte que les cartouches génériques n’étaient pas forcément disponibles. Pour le moment, on consomme au moins 2-3 cartouches XL noires et un jeu de couleur pour environ 20 € par an en générique à comparer aux près de 150 € que coûteraient les cartouches du constructeur. Le dernier frein était de racheter exactement la même chose, une imprimante multifonction au prix à peu près identique, alors que j’avais déjà le même outil.

On imprime pas mal à la maison, que ce soit ma femme ou moi, nos activités professionnelles font que l’imprimante fonctionne tous les jours, les enfants aiment bien aussi sortir un truc de temps en temps. La fonction scanner est indispensable pour les copies de documents et occasionnellement pour numériser. Perso, la couleur ne me sert pas trop, on fait développer les photos pour pas cher par centaines par des grandes enseignes ; ma femme en a plus besoin mais dispose d’une imprimante et photocopieuse couleur sur son lieu de travail et au pire pourra encore utiliser la Lexmark.

Bref, mes gros sabots me mènent droit vers une imprimante laser d’autant qu’il y en a maintenant des multifonctions. J’avais aussi en mémoire un billet d’antistress, qui ne jurait que par sa Brother. Pour la couleur, il faut mettre au moins 200 € et après sondage, ce n’était pas totalement indispensable (même si souhaitable). Pour le monochrome, en multifonction, à partir de 100 €, on a quelque chose. J’ai privilégié la polyvalence en prenant le maximum de connexions possibles (USB, wi-fi et Ethernet) ainsi que le recto-verso automatique dont je me sers régulièrement.

J’ai bien sûr vérifié la disponibilité des drivers pour Linux et la bonne compatibilité et suis tombé sur une promotion intéressante de la Brother DCP-L2560W pour 150 € livraison incluse.

L’installation s’est faite sans problème, il y a un script qui télécharge et installe tous les paquets nécessaires. Seul bémol, le câble USB n’est pas fourni et je n’ai pas réussi à faire fonctionner le scanner en wi-fi, sinon, rien à redire, ça imprime vite et bien. Autre petite interrogation, le driver de l’imprimante est en 32 bits, je ne sais pas si cela peut encore fonctionner sur les distributions ne supportant que le 64 bits comme le veut la tendance actuelle.

Pour le moment, je suis très satisfait de mon achat qui me permet d’imprimer de façon bien plus confortable sans trop me prendre la tête pour l’installation.

Message de service : changement de thème

Pour ceux qui lisent depuis leur agrégateur (et ils ont bien raison), il n’y a qu’à venir voir et me faire un petit coucou. Ça c’est du billet ! J’aurais presque pu l’intituler : Venez sur mon site, vous allez être étonnés !

Une BD pour les vacances : Le profil de Jean Melville

Le dernier épisode du 56Kast était consacrée à la bande dessinée Le profil de Jean Melville de Robin Cousin. Et comme c’est une BD en Creative Commons, ce serait dommage de ne pas partager ça avec tous les amateurs de technologies et avec ceux qui s’intéressent au devenir de nos données.

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RockBox, ça roxe du poney !

Comme je le mentionnais dans mon précédent billet, depuis l’ouverture de ce blog, j’ai en prévision d’écrire un article sur RockBox et je ne l’ai toujours pas fait donc c’est pour aujourd’hui.
Depuis au moins 5 ans, je n’ai rien vu passer sur le sujet. Certes, c’est un projet un peu ancien (mais qui avait eut son écho dans la presse spécialisé), il n’y a pas eu beaucoup de nouveautés ces dernières années et, surtout, les baladeurs numériques ont été remplacés pour beaucoup par le téléphone portable, mais il mérite cependant d’être connu et réveillera peut-être des appareils considérés comme obsolètes.

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Bidouillages en tous genres

Qu’est-ce que tu bricoles ?

C’est ce que je dis à mes gamins de façon un peu péjorative quand ils sont en train de faire un truc sans y arriver ou que j’attends qu’ils arrivent pendant qu’ils mettent un temps infini à enfiler un(e) chaussette/chaussure/T-shirt/pantalon/etc (rayer la mention inutile). Pourtant, moi je ne fais que ça de bricoler, de bidouiller, il n’y a pas beaucoup d’objets dans la maison qui n’ont pas été démontés ou modifiés, tour d’horizon.

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Ils se foutent de notre (Goo) gueule !

C’est en écoutant la toujours intéressante émission La sphère de ce week-end que j’ai appris la nouvelle reprise aujourd’hui par Numerama : suspecté d’inégalités de salaires entre les hommes et les femmes, Google refuse de fournir au département du travail américain les informations sur les salaires de ses employés car cela serait trop long et trop cher.

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Faire connaître sans polluer

La publicité ne fait pas bon ménage avec le libre, parce que le libre n’a rien à vendre (hormis du service) et que la publicité fait souvent l’éloge d’un produit afin d’inciter à la consommation. J’apprécie ce côté de la liberté de faire faire ce que l’on veut avec nos machines afin qu’elles respectent les souhaits de l’utilisateur.

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Le réel n'a pas eu lieu

Ma réflexion est partie de cet article du Framablog (qui est une traduction de cet article en anglais). Il nous dit que les recommandations de YouTube favorisent largement les faits alternatifs (contrairement à une recherche directe sur le même site et plus encore sur Google). La faute n’incomberait  […]

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